Le choix du cheval, quelle que soit la pratique, est toujours important, et cela se vérifie d'autant plus avec les différents publics handicapés.
Dotés de nombreuses qualités bien établies, le cheval épaule le travail de l'équithérapeute ou du moniteur lors de sport adapté.
Une simple mise en échec peut être lourde de conséquences, et une chute peut avoir des répercussions physiques mais également psychologiques graves.
Pour autant, quelqu'un se pose-t-il la question de savoir si le cheval ne souffre pas lui-même de cette utilisation et de ces situations ?
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